Ces mesures s'inscrivent dans le cadre d'une réforme plus large des peines et visent à remédier à la surpopulation des centres de détention.

La mesure prévoit l'utilisation de médicaments injectables pour supprimer le désir sexuel, associée à des interventions psychologiques ciblant d'autres causes de la délinquance, telles que le pouvoir et le contrôle.